Autre méthode de calcul, qui prend en compte tous les joueurs (même ceux qui ont loupé des matches). Chaque joueur donne des points au prorata de son style de jeu. Par exemple, en France, j'ai joué 36 simples et 63 doubles pour marquer 406 points, donc on considère que 147,64 pts sont pour le jeu simple et 258.36 pts pour le double. Bien sûr, c'est peut-être faux, peut-être que je me suis vautré sur la totalité de mes simples. Mais cela permet d'éviter de faire des regroupements arbitraires comme dans la précédente méthode.

Voici les résultats.

Oui, les doubles devraient favoriser la prise de bonus sur les matches justes. Pas facile à quantifier, car c'est un indicateur sur la totalité de la grille.

J'ai réussi à composer les données du nombre de points marqués par pari (simple ou double), sur les championnats de L1, L2, Espagne, Angleterre, Allemagne et Belgique. Les autres championnats ont encore des journées en retard. Les points tiennent compte du bonus x2.

C'est probablement l'indicateur le plus fiable jusqu'à présent. Les doubles sur-performent les simples d'un peu moins de 15%. Pour équilibrer le jeu, il faudrait abaisser les cotes doubles de ce pourcentage. Pas facile à faire avec le système de cotation...

Voilà ce que donnerait une correction sur les doubles d'environ 15%.

J'ai repris les données, car j'avais intégré la Ligue 2 dans les données, alors que la J10 est en retard.

Cela ne change pas fondamentalement le résultat. J'ai surtout calculé l'écart-type. Il faudra que je fasse un test statistique pour m'assurer qu'un type de pronos est supérieur à l'autre, car ce n'est pas du tout clair sur ces données, l'écart-type des "simples" étant largement supérieur à celui des "doubles".

Oui, j'ai pensé aussi au point 2 qui peut fausser les statistiques.

Cela pourrait être gommé en prenant comme référence des joueurs qui avaient des classements égaux l'année dernière mais ton échantillon pour comparer les cotes simples et doubles ne serait peut-être pas assez significatif.